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Les Scorpions de Ouarzazate
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12 mars 2015

Commissaire

UNE NOUVELLE ENQUÊTE IMPORTANTE DU COMMISSAIRE NOUABOIRE

Blog de lesscorpionsdeouarzazate : Les Scorpions de Ouarzazate, UNE NOUVELLE ENQUÊTE IMPORTANTE DU COMMISSAIRE NOUABOIRE

- Toc-toc, fit la porte qui s'ouvrit en cédant le passage à une accorte jeune femme dont la silhouette était particulièrement féminine ce jour-là.

- Bonjour madame, que désirez-vous ? S'enquit le commissaire Nouaboire.

- Votre collègue le commissaire Noutatournée m'a dit que j'étais convoquée à votre bureau.

- Très bien, asseyez-vous.

- C'est-à-dire que, mon commissaire, y a pas de chaise dans votre bureau.

- Ce n'est pas grave, asseyez-vous sur mes genoux pour cette fois. Et dites-moi ce qui vous amène.

- Je sais pas, c'est vous qui m'avez convoquée.

Le commissaire caressa pensivement l'arête du nez de la jeune femme, qu'elle avait particulièrement nasal ce jour-là.

- Très bien, alors commençons l'enquête. Votre nom ?

- Annabelle Hélabette, née Nuphar de mère inconnue et de père manganate.

- Et où habitez-vous ?

- Nans ba baison gez boi, bais bourriez-vous enlever vos doigts de bon dez ?

- Excusez-moi, je suis toujours un peu nerveux au début d'une enquête. Vous vivez seule ?

- Non, je vis avec mon fils Depütt et ma fille Dejoah, qui sont tous deux de père inconnu, car je n'ai jamais connu leur père et lui non plus.

- Ve vois, et comment puis-ve vous v'être utile ? Répondit-il tout en lui mordillant l'oreille gauche qu'elle avait particulièrement auditive ce jour-là.

- Je voudrais retrouver ma mère inconnue et arrêtez de me mordre l'oreille s'il vous plaît.

Le commissaire s'excusa et demanda tout en glissant sa main dans le dos de la jeune femme pour lui caresser l'omoplate gauche qu'elle avait particulièrement osseuse ce jour-là :

- Comment voulez-vous qu'on la retrouve si vous ne la connaissez pas ?

- Je sais pas, c'est vous le commissaire et c'est quoi le truc que je sens frétiller là-dessous dans votre pantalon ?

- Oh pardon c'est le micro de mon interphone que j'avais laissé dans ma poche... Allo ? Ah c'est vous commandant Desagesse ! Pouvez-vous venir, j'ai une mission pour vous ! Dit le commissaire dans le micro qu'il avait entre temps récupéré tout en glissant délicatement sa main sous la vareuse de la jeune femme afin de lui titiller délicatement le nombril qu'elle avait particulièrement ombilical ce jour-là.

Le commandant Desagesse entra et s'assit par terre, dans la mesure où les genoux du commissaire étaient déjà pris.

- Commandant, levez-vous et regardez par la fenêtre, il me semble avoir vu passer une inconnue il y a un instant ? Demanda-t-il

- C'est exact mon commissaire, je la vois et elle est effectivement totalement inconnue.

- Eh bien allez la chercher, qu'attendez-vous, nous allons l'interroger. Dit-il en glissant sa main sous la jupe de la jeune femme afin de lui caresser le genou droit, qu'elle avait particulièrement mou ce jour-là.

Le commandant Desagesse sortit, pendant que le commissaire glissait sa main dans la culotte de la jeune femme, afin de vérifier l'élasticité de l'élastique qu'elle avait particulièrement caoutchouteux ce jour-là.

Il revint quelques instants plus tard avec l'inconnue, qu'en effet personne ne connaissait.

- Onvour adaheu, dit le commissaire occupé à dégrafer avec les dents le soutien-gorge de la jeune femme, afin de vérifier s'il pouvait être lavé en machine ou de préférence à la main à basse température. Asseyez-vous sur mon autre genou, afin qu'on puisse vous interroger.

- Etes-vous mère ?

- Pas pour l'instant, mais j'ai bien connu un père inconnu qui a eu une fille de mère inconnue. Serait-ce moi-même ? Dit-elle en glissant la main dans le pantalon du commissaire pour vérifier que le truc dur qu'elle avait senti était bien son pistolet.

- Eh bien j'ai l'impression que nous avons résolu cette enquête ! S'écria joyeusement le commissaire en enlevant sa main droite du corsage de la jeune femme pour plonger la gauche dans celui de l'inconnue, afin de vérifier les subtiles différences entre les deux, particulièrement bien remplis ce jour-là.

- Annabelle Hélabette, je vous présente votre mère inconnue ! N'est-ce pas une extraordinaire coïncidence ?

- Maman ! S'écria alors la jeune femme en glissant la main dans le pantalon du commissaire où elle avait cru sentir un truc dur qui bougeait et qui était simplement la main de l'inconnue qui farfouillait à la recherche du pistolet.

- Ma fille ! Répondit la mère inconnue en continuant à farfouiller dans le pantalon du commissaire qui avait l'air particulièrement satisfait ce jour-là. 

- Encore une enquête résolue avec brio, se dit-il, tout en vérifiant dans le tiroir de son bureau que son pistolet y était bien rangé.

Epilogue :

La fière silhouette du commissaire Nouaboire se découpait dans le cercle rouge du soleil particulièrement couchant ce soir-là en chantonnant « Aïe amé poure long sommé cow-missaire qué rentré atomé » en anglais avec un léger accent espagnol, car il chantait toujours en anglais avec un léger accent espagnol.

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